Ils l'ont aimé ... et vous ? http://www.amazon.fr/vie-est-combat-lAmour-soldat-ebook/dp/B00IISNR8S/ref=sr_1_cc_2?s=aps&ie=UTF8&qid=1392789271&sr=1-2-catcorr&keywords=mich%C3%A8le+rosaux

TOP 10 des ventes d'Amazon atteint ! On continuer de partager et d'en parler siouplait ^^

Bonjour, amis lecteurs. Certains d'entre vous m'ont fait part de leur tristesse, voire de leur déception face à mon dernier roman car il ne se termine pas en happy end. J'aimerais juste tenter d'expliquer cet engouement au happy end et donner mon avis. L'introduction massive de la happy end rétrécit l'univers de la tragédie au sein de l'imaginaire contemporain. Elle rompt avec une tradition millénaire, issue de la tragédie grecque. Elle implique un attachement intensifié au héros. Le lien sentimental et personnel qui se noue entre le lecteur et héros est tel que le lecteur ne supporte plus que son alter ego puisse échouer ou souffrir. Au contraire, il en attend le succès, la réussite, la preuve que le bonheur est possible. Ainsi, paradoxalement, c'est dans la mesure où l'histoire se rapproche de la vie réelle qu'elle s'achève sur la vision la plus irréelle, la plus mythique : la satisfaction des désirs, le bonheur éternisé. A méditer ^^

Et voilà ! Mon second roman vient de paraître !!!

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Bonjour à tous et toutes. Mon deuxième roman va bientôt paraître. Je vous laisse découvrir le synopsis et un extrait ^^ La vie est un combat, l'Amour un soldat. Derrière les murs et les grilles d’un orphelinat, il est des secrets bien gardés, des pratiques douteuses, des expériences douloureuses qu’on ne souhaite partager avec personne. L’empitié n’y est pas la bienvenue. Surtout quand elle émane de Louis et qu’elle s’adresse à moi, Johnny Yankee. Moi, l’éternel rebelle, l’insoumis, la mauvaise graine. Ce n’est pas après quinze ans de lutte acharnée pour susciter crainte et respect que je vais me laisser attendrir par un freluquet ! … Même s’il a du miel au fond des yeux, si son visage est auréolé de boucles de soleil et si un seul de ses sourires met mon cœur à genoux. " Jean-Claude me lança un regard noir tout en enfilant sa salopette, ce qui altéra quelque peu ma bonne humeur. Mais le sourire tremblant que m'offrit Lou un peu plus tard pendant le déjeuner, me remua le cœur. Les rayons du soleil filtraient au travers de la fenêtre du réfectoire, inondant son visage dont je découvris, subjugué, les traits fins et réguliers. Il plongea son regard dans le mien et je demeurai figé de stupeur devant leur beauté. On aurait dit que du miel liquide s’y déversait ! De minuscules paillettes d'or scintillaient de mille feux. Quant à ses cheveux, sous l'éclat du soleil, les boucles blondes resplendissaient d'une teinte chaude, cuivrée qui me firent penser aux épis de blé en plein cœur de l'été. Sa bouche, à elle seule, était une œuvre d'art. J'y distinguai deux pétales d'églantines délicatement ciselés, recouverts d'une fine pellicule de rosée qui se mit brusquement à scintiller lorsqu'il y fit courir sa langue ! Le mouvement fut des plus furtifs mais un long frisson chemina le long de ma colonne vertébrale, se prolongeant jusqu'à mon sexe ! Rouge de honte, je levai mon bol à hauteur de mon visage et l’y cachai pour boire mon café."